Moïse Katumbi risque d’écoper 10 ans de prison et 500 millions de francs congolais.
Les services de sécurité reproché à l’opposant d’avoir entamé les travaux de réhabilitation d’une piste d’atterrissage de l’aéroport abandonné de Mulonde à Pweto dans le Haut-Katanga, indiquent des sources judiciaires.
D’après nos sources, l’ancien candidat à l’élection présidentielle du décembre 2023 n’aurait pas reçu l’autorisation des autorités compétentes avant de lancer de tels travaux.
Voilà ce qui suscite des réactions dans le camp Katumbi. Ses proches parlent d’un dossier monté de toute pièce par le régime Tshisekedi pour faire taire l’opposant à l’heure où les grandes manoeuvres s’opèrent pour la révisitation de la Constitution.
Pour eux, il s’agirait tout simplement d’un acharnement. Une affaire à suivre.
Hornella MANSANGA ✍️