Aujourd’hui, les grands journaux financés par l’État qui firent la pluie et le beau temps, singulièrement pendant la deuxième République, ont tous disparu avec leurs propriétaires.
Une nouvelle génération a pris la relève, en faisant paraître des journaux dans un contexte socioéconomique difficile marqué par des prix exorbitants des matières qui servent à la production d’un journal.
Il en de même des patrons de médias audiovisuels qui arrosent l’espace national et international grâce à des moyens sophistiqués qu’offrent de nos jours les nouvelles sciences de l’information et de la communication.
L’opinion publique le sait et a su se prononcer, vers la fin de l’année 2024, sur les communicateurs qu’elle apprécie pour la qualité de services, mieux des informations qu’ils livrent chaque jour.
C’est ainsi que le récent sondage mentionne dix meilleurs communicateurs, notamment Christian Lusakueno, Kiaku Mfinga, Patrick Kokala, Jules Tulembi, et Pascal Mulunda.
Un jeune et dynamique patron de presse Directeur éditeur responsable du groupe de presse le Monitor, Pascal Mulunda a acquis une expérience dans le journalisme congolais que nul ne peut lui contester.
Grâce à cette expérience, il a tenu à se doter des connaissances académiques en terminant, avec la mention grande distinction, son cursus universitaire à l’ex Ifasic.
Fort de tout ce qu’il a acquis pendant deux décennies, Pascal Mulunda a brigué un poste au sein de la commission de discipline de l’Union nationale de la presse du Congo (UNPC) lors du congrès tenu dans la capitale. Son principal souci était d’apporter un nouvel élan à cette institution qui joue un rôle crucial dans la régulation de la profession journalistique dans notre pays.
Dans son acte de candidature, avait mentionné aussi son role en tant que conseiller en communication au ministère des PTT, durant la période de transition en 2003. Son ambition était donc de renforcer la crédibilité de la commission de discipline en initiant des formations destinées à outiller les journalistes.
« Je tiens à donner le meilleur de moi-même pour redorer limage de marque de cette commission à travers les différentes formations que nous comptons initier pour outiller les chevaliers de la plume et les coqs du micro afin de les mettre à l’abri de certains dérapages longtemps décriés » déclarait-il.
Qu’il soit aujourd’hui cité parmi les professionnels qui se sont distingués durant l’année 2024 comme des meilleurs communicateurs, prouve, sil en encore besoin, que Pascal Mulunda est apprécié, et que ses journaux sont lus à travers le territoire national.
Rédaction ✍️
