À peine arrivée, la compagnie aérienne Air Congo n’est pas en odeur de sainteté avec ses passagers. Elle vient commettre une première bourde vis-à-vis de ses clients.
Les clients d’Air-Congo n’en peuvent plus à N’Djili. Les agents de cette compagnie aérienne ont fui, laissant les clients seuls face à leur sort. Ces clients sont restés en détresse car les agents d’Air Congo ont quitté, les laissant seuls.
Et pour cause, la compagnie a vendu plus de billet que de places pour le vol Kinshasa-Goma. Ce qui a révolté les passagers ayant manqué de place à bord de l’appareil à destination de Goma.
Il a fallu deux autres vols pour que ces passagers d’Air Congo fêtent en famille.
Cette déconfiture du service proposée par cette société aérienne a provoqué un tollé général ce vendredi 20 décembre à l’aéroport de N’Djili.
Les passagers victimes sont restés dans le spectative ne sachant pas à quel saint se vouer.
Rachidi MABANDU ✍️
3 réponses
Et voilà l’homme congolais ne sachant pas s’organiser, dites moi un peu ça, est ce que c’est aussi la faute du gouvernement ou du président et j’ignore d’autre ?
Dites moi.
Allons nous mettre un policier derrière chaque agent ?
Il faut que chacun de nous prenne conscience de sa responsabilité, il faut que chaque personne joue sa partition en pleine conscience, on a tendance d’accuser seulement les dirigeants supérieurs et politiques surtout la magistrature suprême, et voilà elle est où la conscience du peuple, elle est où sa contribution pour avancer la nation…?
Comment cela a-t-il été possible ? La compagnie ne travaille t’elle pas avec un logiciel approprié comme chez Ethiopian ? On peut vendre autant de billets mais il n’est pas possible de booker plus de passagers qu’il n’y a de places sur un vol.
Bonsoir,
L’interpretation et une mauvaise campagne est en oeuvre.
Depuis la semaine passé, les passagers en retard handicape toutes les autres stations: GOM,FBM,FKI….
Une demarche est mise en oeuvre pour découcager cette mentalité.
L’ouverture check-in et fermeture check-in doit être de rugeur.